Hey, hey, hey... Hey, hey, hey... Hey, hey, hey...
Dans tes pas,
il y a comme une odeur de mômes.
Dans tes empruntes,
comme une fontaine d'arômes.
Il t'envahit bien au-delà du menton.
Et laisse en toi les dégâts d'une explosion.
Ça te balance des éclats de noisettes.
Aux goût eigthies,
mes du fluo dans tes baskets.
refrão:
Une pluie de madeleines,
s'enfuit dans tes veines.
Un nuage te ramène,
des images par centaines.
Au temps de mercredi,
Nighties et Eigthtis.
Hey, hey, hey... Hey, hey, hey...
Ta barbe à la couleur des arbres en automne,
mais quand t'écoute le silence qui fredonne.
De vieille images de foot,
des frères qui rigole.
Pour un rien d'heure,
tu te retrouve tête coupe au bol.
Ça te balance des éclats de noisettes.
Aux goût eighties,
mes du fluo dans tes baskets.
refrão
Une pluie de madeleines,
s'enfuit dans tes veines.
Un nuage te ramène,
des images par centaines.
Au temps de mercredi,
Nighties et Eighties.
Et tu revient là ,
où tes pieds ont apris.
A chouter aussi fort que Platini.
Mais déçue de voir que ton décor d'antan,
à disparut dans un nouveau tournant.
Tes yeux se remplissent de noisettes.
Aux goût eighties,
y a du vide dans tes baskets.
refrão:
Une pluie de madeleines,
s'enfuit dans tes veines.
Un nuage te ramène,
des images par centaines.
Ont éteint mercredi,
et tu revoie ta vie...
Une pluie de madeleines,...
Un nuage te ramène,...
Au temps de mercredi,
Nighties et Eightis.
Hey, hey, hey...(Hey, hey,hey...)
Hey, hey, hey...(Hey, hey, hey...)
Hey, hey, hey...